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Article Reddit: Trump’s new AI czar deleted these tweets https://www.reddit.com/r/singularity/comments/1h868bg/trumps_new_ai_czar_deleted_these_tweets/
David Sacks, un investisseur tech influent et nouveau “czar de l’IA” pour la campagne Trump, a récemment supprimé des tweets controversés concernant l’intelligence artificielle. Dans ces messages, il qualifiait l’AGI (Intelligence Artificielle Générale) d’espèce successeure potentielle à l’humanité, destinée à nous remplacer pour le “bien de l’humanité”.
L’AGI, contrairement à l’IA actuelle qui est spécialisée dans des tâches précises, représenterait une intelligence capable d’accomplir toute tâche intellectuelle humaine. Cette nomination s’inscrit dans un contexte de course à l’IA entre différentes entreprises comme OpenAI, Google DeepMind et les sociétés alignées avec Elon Musk.
La nomination de Sacks reflète une réalité complexe : l’IA est devenue un enjeu autant technologique que politique. Sa vision de l’AGI comme “successeur” n’est ni totalement farfelue ni absolument certaine - c’est une possibilité parmi d’autres dans l’évolution de cette technologie.
L’histoire nous montre que les nouvelles technologies ne remplacent pas systématiquement les anciennes, mais créent souvent des dynamiques de coexistence et d’adaptation mutuelle. L’AGI pourrait suivre ce même schéma, devenant un acteur supplémentaire plutôt qu’un remplaçant de l’humanité.
Cette nomination pourrait représenter une opportunité unique d’encadrer le développement de l’IA au plus haut niveau gouvernemental. La vision de Sacks, bien que provocante, témoigne d’une ambition transformative pour l’humanité. L’AGI pourrait devenir un partenaire extraordinaire, nous aidant à résoudre les plus grands défis de notre époque.
Cette “succession” pourrait signifier une évolution collaborative où humains et IA s’enrichissent mutuellement, créant une civilisation plus avancée et plus capable. C’est peut-être le début d’une nouvelle ère de progrès exponentiels.
La suppression des tweets révèle une tentative de masquer une vision potentiellement dangereuse de l’IA. Confier la supervision de l’IA à quelqu’un qui la voit comme notre “successeur” pose question. Cette nomination pourrait accélérer une course à l’AGI déjà risquée, privilégiant la vitesse à la sécurité.
Les implications d’une telle vision politique de l’IA sont préoccupantes : si ceux qui développent l’AGI la voient comme notre successeur, quelles garanties avons-nous qu’ils prioriseront les intérêts humains? Cette approche pourrait nous mener vers une forme subtile d’extinction technologique.
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